[Verse] Je marche seul sur cette terre Les rêves partis en poussière Mes souvenirs pèsent lourd Les regrets sans espoir de retour La roue tourne, sans détour Serait-ce déjà le compte-à-rebours (tic tac tic tac) [Verse 2] Les jours passent sans répit La nuit tombe sur mes envies J'ai cherché l'or dans mes larmes Mais la vie a pris les armes Juste un défi de tous les jours, Malgré le compte à rebours (tic tac tic tac) [Chorus] Oh le monde m'a déçu J'ai tout perdu Mes erreurs me hantent toujours Je suis prisonnier de mes jours Méfiant de tout le monde, Malgré la ronde du monde Mon cœur laissé sur l'autre côté de la rue, face à la vérité nue [Verse 3] J'ai couru après des mirages Vendu mon âme pour quelques pages La vérité m'a laissé nu Face aux mensonges que j'ai crus Ces heures tombées comme des Anges déchus (tic tac tic tac) [Chorus] Oh le monde m'a déçu J'ai tout perdu Mes erreurs me hantent toujours Je suis prisonnier de mes jours J’avance en reculant Ma joie n’a plus de courant Méfiant de tout le monde, malgré la ronde du monde Mon cœur laissé sur l'autre côté de la rue, face à la vérité nue Ohhhh [Bridge] Les promesses s'effondrent Les cœurs se détournent Je cherche la paix intérieure Mais je suis un homme en pleurs [Chorus] Oh le monde m'a déçu J'ai tout perdu Mes erreurs me hantent toujours Je suis prisonnier de mes jours J’avance en reculant Ma joie n’a plus de courant Méfiant de tout le monde, malgré la ronde du monde Mon cœur laissé sur l'autre côté de la rue, face à la vérité nue Ohhhh [Verse 4] Le temps efface les cicatrices Mais pas les traces des supplices Je porte ma croix solitaire En espérant une lumière Les yeux mouillés rivés là haut, j’observe les étoiles, La solitude comme seul compagnon, est mon étoile [Chorus] Oh le monde m'a déçu J'ai tout perdu Mes erreurs me hantent toujours Je suis prisonnier de mes jours J’avance en reculant Ma joie n’a plus de courant Méfiant de tout le monde, malgré la ronde du monde Mon cœur laissé sur l'autre côté de la rue, face à la vérité nue Ohhhh [Verse 5] Mais tu sais, du haut de mes quarante piges, Des rencontres d’âmes croisées ne connaissant que le litige Souvenir de celle, qui comme un rappel, dénonçait la naïveté, cette plaie qui ne peut se refermer Je croise ces regards vides mais remplis d’hypocrisie Ils ne brillent que face à la vilenie (perfidie) Coulant, faux semblants, face à des émotions éphémères (éphémères) Alors que la Terre semble foncer vers l’enfer Et l’aiguille de la Grande Horloge s’affaire (tic tac tic tac) [Outro] Mes yeux saignent, Mon cœur pleure Ces douleurs diffusent Ces pensées confuses Et l’instant qui fuse (tic tac tic tac)