[Couplet 1] On roule tranquille, fenêtres ouvertes Le vent salé qui nous traverse Le ciel est clair, l’été est là On voit la mer à l’infini, comme autrefois [Couplet 2] Un arrêt au Havre pour un café Les gens qui rient, le quai animé Les maisons colorées au bord de l’eau Un vieux char passe, on fait signe à nouveau [Refrain] Aux Îles, le temps s’étire, puis s’arrête, Sous un ciel clair où le vent s’apprête, La mer immense danse devant nos yeux, Et dans nos cœurs vivent des souvenirs précieux. [Couplet 3] À l’Étang-du-Nord, la gabarre ne touche plus terre Les falaises sont tombées, le rivage est amère Mais les souvenirs restent, bien ancrés Dans ce décor que le vent vient sculpter [Couplet 4] Les vieux phares veillent toujours sur la mer, Ils veillent sur nous, été comme hiver Le sel et le sable dansent au gré du vent Les Îles respirent, à chaque instant [Refrain] Aux Îles, le temps s’étire, puis s’arrête, Sous un ciel clair où le vent s’apprête, La mer immense danse devant nos yeux, Et dans nos cœurs vivent des souvenirs précieux. [Pont] Les Îles, c’est plus qu’un bout de terre, C’est un accent qu’on n’oublie pas, fier et sincère. Une façon de vivre qu’on emporte partout, Un coin du monde qui marque plus que tout. [Refrain final] Aux Îles, le temps s’étire, puis s’arrête, Sous un ciel clair où le vent s’apprête, La mer immense danse devant nos yeux, Et dans nos cœurs vivent des souvenirs précieux Aux Îles, le temps s’étire, puis s’arrête, Sous un ciel clair où le vent s’apprête, La mer immense danse devant nos yeux, Et dans nos cœurs vivent des souvenirs précieux