Danse feat. @heymow

(Couplet 1 – melancholic, distant, soft) Sous un ciel sans étoiles, dans la brume d’un soir, Les murmures des âmes me hantent dans le noir. Des chaînes invisibles m’entourent et m’enserrent, Comme un cri étouffé perdu dans les enfers. (Pré-refrain – building tension, tribal rhythm, dark bass) Le silence hurle, il dévore mon esprit, Un abîme de cendres où tout s’évanouit. (Refrain – intense, orchestral, emotional release) Danse, danse, ombre sur ma peau, Emporte-moi sous les flots. Rien n’existe, rien ne brille, Juste le vide qui vacille. Danse, danse, ombre jusqu’au jour, La nuit sera mon seul retour. (Couplet 2 – fragile, introspective, slow build) Chaque pas me ramène à des routes sans fin, Des visages oubliés s’effacent dans mes mains. Le froid me consume, le vide est mon refuge, L’amour est une plaie, la douleur un subterfuge. (Pré-refrain – escalating tension, haunting strings) Le silence hurle, il dévore mon esprit, Un abîme de cendres où tout s’évanouit. (Refrain – repeated, layered, cathartic) Danse, danse, ombre sur ma peau, Emporte-moi sous les flots. Rien n’existe, rien ne brille, Juste le vide qui vacille. Danse, danse, ombre jusqu’au jour, La nuit sera mon seul retour. (Pont – somber, piano-driven, emotional climax) Et si demain n’existe pas, Si tout s’efface sous mes pas, Alors que reste-t-il de nous, Sinon des cendres sur la joue ? (Refrain final – powerful, overwhelming, grand orchestration) Danse, danse, ombre sur ma peau, Emporte-moi sous les flots. Rien n’existe, rien ne brille, Juste le vide qui vacille. Danse, danse, ombre jusqu’au jour, La nuit sera mon seul retour. (Outro – fading, ethereal, silence) Sous un ciel sans étoiles, je me perds dans l’espace, Un souffle, un soupir, et tout s’efface. [end] [END]