🔥 Voici "Dealer de Sentiments", une chanson qui parle d’amour, de sacrifices… et de prises de conscience (tardives, comme d’hab). Parce que, soyons honnêtes, qui n’a jamais joué les martyrs de l’amour en pensant que tout donner, c’était forcément gagner ? 🫠💔 Dans cette balade entre regrets et espoir, je réalise que l’amour, c’est pas censé être une peine de prison ni un contrat de vente de soi-même. Et surtout… que mon cœur s’est pris pour un dealer, distribuant des doses de passion sans compter, jusqu’à se retrouver en rupture de stock. 📉😂 Bref, une petite leçon de vie en musique : aimer, oui. S’oublier, non. Et surtout, arrêter de se prendre pour un héros de drama romantique. 🎭 💿 Écoute, ressens… et surtout, ne te fais pas avoir comme moi. 😅🎶 [Intro] [Instrumental, percussions légères, crescendo] On croit qu’aimer, c’est tout donner, S’effacer pour mieux exister. On joue les martyrs, les cœurs en flammes, Mais à force, on s’consume dans le drame. [Verse 1 – Voix masculine] Je me retrouve à penser, aux chemins que j’ai pris, Aux nuits passées à donner, sans jamais dire un cri. J’ai tout gardé pour moi, mes peurs, mes silences, Et toi, t’as cru peut-être, que j’vivais sans souffrance. *Meow* [Pre-Chorus – Duo homme & femme] Mais c’est pas toi, non, c’est moi, Qui ai laissé mon reflet se noyer dans tes bras. J’pensais qu’aimer, c’était tout offrir, Mais j’me suis oublié, sans même voir venir. *Meow* [Chorus] L’amour, c’est un couloir de la mort, On avance sans voir l’effort. Une encre de bateau, qui te cloue au fond de l’eau, Un cocktail brûlant, qui consume en un instant, Une émotion irresponsable, qui nous fait perdre les pédales. [Percussion builds tension as it rises] [Verse 2 – Female Voice] T’as jamais rien caché, jamais rien imposé, C’est moi qui ai voulu plier, jusqu’à m’effacer. J’croyais qu’en me sacrifiant, j’ferais un mur solide, Mais j’me rends compte aujourd’hui, que j’ai creusé mon vide. [Pre-Chorus] Mais c’est pas toi, non, c’est moi, J’ai confondu l’amour avec le poids du choix. J’pensais qu’aimer, c’était tout donner, Mais sans se garder, on finit brisé. [Female backing vocals echo] [Chorus] L’amour, c’est un couloir de la mort, On avance sans voir l’effort. Une encre de bateau, qui te cloue au fond de l’eau, Un cocktail brûlant, qui consume en un instant, Une émotion irresponsable, qui nous fait perdre les pédales. [Verse 3] J’reprends mes forces, je recolle les bouts, J’me cherche encore, mais j’trouve un p’tit goût. De liberté, de vérité, D’un amour qui n’fait plus tomber. [Bridge – Maximum Intensity, Rythmic Build-up] J’n’ai pas de regrets, non, chaque instant comptait, Une drogue trop forte, un poison qui m’brisait, Mais l’amour m’a piégé comme une douce illusion. Mon cœur, son dealer, qui vendait ma passion. [Female vocals repeating] "It’s me who made the call..." [Outro] L’amour, c’est pas un sacrifice, C’est pas un feu qui dévore sans justice. Si je veux aimer, il faut d’abord, Que je m’aime assez pour croire encore… [Both voices together over powerful percussion] [Hard Stop End – Explosive Finish] [Music climaxes with a massive drop of percussion and synths, ending with a sharp, sudden stop]