L'Ombre Des Jours Passés

[Introduction] Un voile tremble sur l’éther brumeux, Les murmures se heurtent aux reflets lumineux. Dans les abysses des instants fragmentés, L’écho d’un passé renaît, subtil et voilé. [Couplet 1] Sous les cieux ternis par des ombres mouvantes, Chaque pas révèle une mélodie vacillante. Les arbres, spectres figés dans le temps, Déploient leurs branches comme un cri d’antan. [Refrain] Où sont les mondes où la lumière danse, Ces jardins perdus, berceaux de l’innocence ? Je m’accroche aux vestiges, aux braises égarées, Pour retrouver l’éclat des heures dorées. [Couplet 2] Les rivières d’argent serpentent sous mes mains, Portant les soupirs d’un royaume lointain. Chaque pierre, chaque souffle, un fragment d’éclat, Un prisme éclaté dans l’ombre de mes pas. [Transition] Dans l’entrelacs des couleurs éteintes, Une lueur émerge, à peine distincte. Elle guide l’âme entre rêve et réalité, Un pont d’étoiles vers l’éternité. [Pont] Le vent s’enivre des parfums d’hier, Les chants défunts se déploient dans l’éther. Chaque ombre vibre, un reflet d’infini, Sculptant des mondes au-delà de l’oubli. [Refrain] Où sont les mondes où la lumière danse, Ces jardins perdus, berceaux de l’innocence ? Je m’accroche aux vestiges, aux braises égarées, Pour retrouver l’éclat des heures dorées. [Outro] Quand le silence étreint la céleste mer, Je récolte les cendres de l’univers. Dans ce chaos doux, un hymne émerge, Un dernier murmure que l’étoile me légère. [Final] Ainsi, l’ombre des jours passés devient lumière, Un souffle perpétuel, un trésor éphémère. Je m’égare dans ce paysage intemporel, Où l’infini et l’éphémère se révèlent.