*(Couplet 1)* Je me lève chaque jour, mais tout semble flou, Un poids sur mes épaules, un ciel toujours gris. Les rires autour de moi résonnent comme un écho, Mais dans ma tête, c’est le silence, l’infini. Je cherche des réponses, mais tout est brouillé, Dans les miroirs, je ne reconnais plus mon reflet. Les couleurs s’effacent, remplacées par l’ombre, Je me perds dans la nuit, où personne ne succombe. *(Refrain)* Je tombe, encore et encore, Dans un puits sans fond, sans espoir, sans décor. Les murs se resserrent, je ne vois plus la lumière, La dépression me prend, je suis prisonnière. Mais dans ce vide, je garde un souffle, une voix, Un murmure fragile qui me dit : "Tiens bon, crois en toi." Même si tout paraît si loin, si noir, Je cherche une étincelle, un petit espoir. *(Couplet 2)* Les mots ne sortent plus, enfermés dans ma gorge, Les larmes coulent en silence, comme un fleuve sans bord. Je veux crier, mais ma voix est un murmure, Dans ce monde où tout semble froid et dur. Les gens me disent que ça ira, un jour, Mais ils ne voient pas la tempête, le ciel lourd. Leurs conseils glissent comme la pluie sur ma peau, Invisibles, impuissants, face à mon fardeau. *(Refrain)* Je tombe, encore et encore, Dans un puits sans fond, sans espoir, sans décor. Les murs se resserrent, je ne vois plus la lumière, La dépression me prend, je suis prisonnière. Mais dans ce vide, je garde un souffle, une voix, Un murmure fragile qui me dit : "Tiens bon, crois en toi." Même si tout paraît si loin, si noir, Je cherche une étincelle, un petit espoir. *(Pont)* Je suis fatiguée, de lutter contre moi-même, Chaque jour est une guerre, un combat que j'aime. Pas parce que c'est facile, mais parce que je dois, Trouver la force de vivre, même sans joie. Si tu pouvais voir ce qu'il y a en dedans, Ces pensées sombres, ce monde déchirant, Peut-être comprendrais-tu cette douleur sourde, Qui m'emporte, qui m'étouffe, jour après jour. *(Refrain final)* Je tombe, encore et encore, Dans un puits sans fond, sans espoir, sans décor. Les murs se resserrent, je ne vois plus la lumière, La dépression me prend, je suis prisonnière. Mais dans ce vide, je garde un souffle, une voix, Un murmure fragile qui me dit : "Tiens bon, crois en toi." Même si tout paraît si loin, si noir, Je cherche une étincelle, un dernier espoir. *(Outro)* Peut-être qu’un jour, je verrai le jour se lever, Et que cette ombre en moi finira par s’effacer. Mais pour l’instant, je continue à avancer, Pas après pas, même dans l’obscurité.