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𝗟đ—Č đ—Ÿđ˜‚đ—»đ—±đ—¶

October 14, 2024 at 8:50 AMv3

🎧 đ—Ÿđ—¶đ˜€đ˜đ—Čđ—» đ—”đ—Č𝗿đ—Č: https://renhal.net © 𝟼𝟬𝟼𝟰 đ—„đ—Čđ—»đ—”đ—źđ—Ÿ 𝗔đ—čđ—č đ—„đ—¶đ—Žđ—”đ˜đ˜€ đ—„đ—Č𝘀đ—Č𝗿𝘃đ—Čđ—±. ________________________ [Scratch records] --- [Instrumental solo] *(Couplet 1)* Le lundi, c’est ce vieux monsieur qu’on voit passer, Toujours avec son manteau beige et son air un peu froissĂ©. Il traĂźne ses pieds, on dirait qu’il a oubliĂ© oĂč il allait. La porte du frigo grince, elle aussi, comme pour protester, Et les tartines tombent toujours du mauvais cĂŽtĂ©, Parce que, c’est bien connu, le lundi est contre nous. Les chaussettes disparaissent, se cachent sĂ»rement sous le lit, Pendant que le cafĂ©, lui, dĂ©cide de ne plus ĂȘtre assez fort. *(Couplet 2)* Le chat s’étire, sans se presser, il s’étale lĂ , pile au milieu, Comme si le monde pouvait attendre, et que personne n’avait de rendez-vous. La radio raconte une histoire sur les embouteillages, Mais elle sait trĂšs bien que personne n’écoute vraiment. On est tous occupĂ©s Ă  chercher nos clĂ©s, Qui, mystĂ©rieusement, choisissent toujours le lundi pour se volatiliser. Et dans tout ça, la montre ? Ah, elle tourne, Mais comme si elle voulait qu’on la dĂ©teste un peu plus. *(Couplet 3)* Les enfants, eux, ils n’ont rien compris, ils rient encore. Lundi pour eux, c’est juste une nouvelle journĂ©e Ă  grimper dans les arbres, À courir aprĂšs le vent, sans jamais vraiment penser au reste. Ils ont sĂ»rement raison. Mais toi, tu sais. Tu sais que lundi n’est pas ton ami, Et que la semaine s’est installĂ©e comme un long couloir sans fenĂȘtre. Mais bon, on continue, on avance, Parce que le lundi, malgrĂ© tout, c’est un peu comme le dĂ©but d’un livre qu’on n’a pas choisi de lire. *(Couplet 4)* Puis vient midi, et lundi semble s’adoucir, Comme s’il voulait s’excuser d’avoir Ă©tĂ© si difficile au dĂ©part. Les rayons du soleil osent enfin percer les nuages, Et la cafetiĂšre se remet Ă  travailler sans un bruit. Peut-ĂȘtre que lundi n’est pas si terrible, Peut-ĂȘtre qu’il a juste mal dormi, lui aussi. Et alors, entre deux bouchĂ©es de ce sandwich un peu trop sec, On se dit que finalement, on peut bien lui pardonner. *(Couplet 5)* L’aprĂšs-midi arrive, et les heures se traĂźnent, Comme des escargots sur un chemin plein de petites peines. Les collĂšgues discutent, mais tout semble lointain, On se demande tous oĂč on a bien pu ranger notre entrain. Les feuilles volent par la fenĂȘtre, un ballet dĂ©sordonnĂ©, Et le bruit du clavier se mĂ©lange aux soupirs Ă©touffĂ©s. Mais au fond, on sait qu’on n’est pas seuls dans ce jeu, Chaque lundi est un refrain, une danse qu’on joue Ă  deux. (Couplet 6) Alors le soir tombe, et avec lui vient la magie, Les lumiĂšres s’allument, et les rires, comme des Ă©chos, s’amplifient. Lundi finit par se plier, s’effacer dans la nuit, La promesse d’un mardi qui attend patiemment, sans bruit. On remet tout Ă  demain, les rĂȘves et les espoirs, Et dans ce doux sommeil, on se promet de croire, Que le lundi, malgrĂ© son air parfois rĂ©barbatif, Peut aussi ĂȘtre le dĂ©but d’un lundi plus crĂ©atif. (Couplet 7) Le tĂ©lĂ©phone sonne, c’est dĂ©jĂ  l’heure des rendez-vous, On rĂ©pond en soupirant, parce que, oh lĂ  lĂ , c’est fou ! Les emails s’accumulent, comme des chaussettes orphelines, On tente de jongler, mais c’est un vrai casse-tĂȘte en cuisine. Les couleurs du lundi, un mĂ©lange de gris et de bleu, On se dit que demain, peut-ĂȘtre, sera un peu mieux. Mais pour l’instant, on fait avec, on avance au pas de course, Avec un grand cafĂ© Ă  la main, qui nous booste, qui nous pousse. (Couplet 8) Et voilĂ  qu’arrive le soir, et la lumiĂšre s’éteint, On se dit que cette journĂ©e, on l’a un peu bien vĂ©cue, enfin. Le frigo nous appelle, avec ses promesses de rĂ©confort, Un plat rĂ©chauffĂ©, qui se faufile comme un accord. On met nos pantoufles, et on s’installe sur le canapĂ©, Le lundi s’efface lentement, il est temps de se dĂ©tendre, Demain est un mystĂšre, mais ce soir, on se repose, La chanson du lundi s’achĂšve, une douce pause. *(Refrain 2)* Le chat s’étire, sans se presser, il s’étale lĂ , pile au milieu, Comme si le monde pouvait attendre, et que personne n’avait de rendez-vous. La radio raconte une histoire sur les embouteillages, Mais elle sait trĂšs bien que personne n’écoute vraiment. On est tous occupĂ©s Ă  chercher nos clĂ©s, Qui, mystĂ©rieusement, choisissent toujours le lundi pour se volatiliser. Et dans tout ça, la montre ? Ah, elle tourne, Mais comme si elle voulait qu’on la dĂ©teste un peu plus. [End] (Couplet 6) Alors le soir tombe, et avec lui vient la magie, Les lumiĂšres s’allument, et les rires, comme des Ă©chos, s’amplifient. Lundi finit par se plier, s’effacer dans la nuit, La promesse d’un mardi qui attend patiemment, sans bruit. On remet tout Ă  demain, les rĂȘves et les espoirs, Et dans ce doux sommeil, on se promet de croire, Que le lundi, malgrĂ© son air parfois rĂ©barbatif, Peut aussi ĂȘtre le dĂ©but d’une semaine plus crĂ©ative. [Spoken] "Ahhh, vivement le weekend hein!" [End] [End]

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3 Comments

𝑮𝒚_$𝒊𝒈𝒏*𝒐𝒇[𝒍𝒐𝒗𝒆]

𝑮𝒚_$𝒊𝒈𝒏*𝒐𝒇[𝒍𝒐𝒗𝒆] 1d ago

Thats great Broâ€ïžâ€ïžâ€đŸ”„đŸ„°

JawShoeUh

JawShoeUh 1w ago

đŸ‡«đŸ‡· 🙌

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MaurizioBucalo

MaurizioBucalo 14w ago

fantastic

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