
đ§ đđ¶đđđČđ» đ”đČđżđČ: https://renhal.net © đźđŹđźđ° đ„đČđ»đ”đźđ đđčđč đ„đ¶đŽđ”đđ đ„đČđđČđżđđČđ±. ________________________ [Scratch records] --- [Instrumental solo] *(Couplet 1)* Le lundi, câest ce vieux monsieur quâon voit passer, Toujours avec son manteau beige et son air un peu froissĂ©. Il traĂźne ses pieds, on dirait quâil a oubliĂ© oĂč il allait. La porte du frigo grince, elle aussi, comme pour protester, Et les tartines tombent toujours du mauvais cĂŽtĂ©, Parce que, câest bien connu, le lundi est contre nous. Les chaussettes disparaissent, se cachent sĂ»rement sous le lit, Pendant que le cafĂ©, lui, dĂ©cide de ne plus ĂȘtre assez fort. *(Couplet 2)* Le chat sâĂ©tire, sans se presser, il sâĂ©tale lĂ , pile au milieu, Comme si le monde pouvait attendre, et que personne nâavait de rendez-vous. La radio raconte une histoire sur les embouteillages, Mais elle sait trĂšs bien que personne nâĂ©coute vraiment. On est tous occupĂ©s Ă chercher nos clĂ©s, Qui, mystĂ©rieusement, choisissent toujours le lundi pour se volatiliser. Et dans tout ça, la montre ? Ah, elle tourne, Mais comme si elle voulait quâon la dĂ©teste un peu plus. *(Couplet 3)* Les enfants, eux, ils nâont rien compris, ils rient encore. Lundi pour eux, câest juste une nouvelle journĂ©e Ă grimper dans les arbres, Ă courir aprĂšs le vent, sans jamais vraiment penser au reste. Ils ont sĂ»rement raison. Mais toi, tu sais. Tu sais que lundi nâest pas ton ami, Et que la semaine sâest installĂ©e comme un long couloir sans fenĂȘtre. Mais bon, on continue, on avance, Parce que le lundi, malgrĂ© tout, câest un peu comme le dĂ©but dâun livre quâon nâa pas choisi de lire. *(Couplet 4)* Puis vient midi, et lundi semble sâadoucir, Comme sâil voulait sâexcuser dâavoir Ă©tĂ© si difficile au dĂ©part. Les rayons du soleil osent enfin percer les nuages, Et la cafetiĂšre se remet Ă travailler sans un bruit. Peut-ĂȘtre que lundi nâest pas si terrible, Peut-ĂȘtre quâil a juste mal dormi, lui aussi. Et alors, entre deux bouchĂ©es de ce sandwich un peu trop sec, On se dit que finalement, on peut bien lui pardonner. *(Couplet 5)* LâaprĂšs-midi arrive, et les heures se traĂźnent, Comme des escargots sur un chemin plein de petites peines. Les collĂšgues discutent, mais tout semble lointain, On se demande tous oĂč on a bien pu ranger notre entrain. Les feuilles volent par la fenĂȘtre, un ballet dĂ©sordonnĂ©, Et le bruit du clavier se mĂ©lange aux soupirs Ă©touffĂ©s. Mais au fond, on sait quâon nâest pas seuls dans ce jeu, Chaque lundi est un refrain, une danse quâon joue Ă deux. (Couplet 6) Alors le soir tombe, et avec lui vient la magie, Les lumiĂšres sâallument, et les rires, comme des Ă©chos, sâamplifient. Lundi finit par se plier, sâeffacer dans la nuit, La promesse dâun mardi qui attend patiemment, sans bruit. On remet tout Ă demain, les rĂȘves et les espoirs, Et dans ce doux sommeil, on se promet de croire, Que le lundi, malgrĂ© son air parfois rĂ©barbatif, Peut aussi ĂȘtre le dĂ©but dâun lundi plus crĂ©atif. (Couplet 7) Le tĂ©lĂ©phone sonne, câest dĂ©jĂ lâheure des rendez-vous, On rĂ©pond en soupirant, parce que, oh lĂ lĂ , câest fou ! Les emails sâaccumulent, comme des chaussettes orphelines, On tente de jongler, mais câest un vrai casse-tĂȘte en cuisine. Les couleurs du lundi, un mĂ©lange de gris et de bleu, On se dit que demain, peut-ĂȘtre, sera un peu mieux. Mais pour lâinstant, on fait avec, on avance au pas de course, Avec un grand cafĂ© Ă la main, qui nous booste, qui nous pousse. (Couplet 8) Et voilĂ quâarrive le soir, et la lumiĂšre sâĂ©teint, On se dit que cette journĂ©e, on lâa un peu bien vĂ©cue, enfin. Le frigo nous appelle, avec ses promesses de rĂ©confort, Un plat rĂ©chauffĂ©, qui se faufile comme un accord. On met nos pantoufles, et on sâinstalle sur le canapĂ©, Le lundi sâefface lentement, il est temps de se dĂ©tendre, Demain est un mystĂšre, mais ce soir, on se repose, La chanson du lundi sâachĂšve, une douce pause. *(Refrain 2)* Le chat sâĂ©tire, sans se presser, il sâĂ©tale lĂ , pile au milieu, Comme si le monde pouvait attendre, et que personne nâavait de rendez-vous. La radio raconte une histoire sur les embouteillages, Mais elle sait trĂšs bien que personne nâĂ©coute vraiment. On est tous occupĂ©s Ă chercher nos clĂ©s, Qui, mystĂ©rieusement, choisissent toujours le lundi pour se volatiliser. Et dans tout ça, la montre ? Ah, elle tourne, Mais comme si elle voulait quâon la dĂ©teste un peu plus. [End] (Couplet 6) Alors le soir tombe, et avec lui vient la magie, Les lumiĂšres sâallument, et les rires, comme des Ă©chos, sâamplifient. Lundi finit par se plier, sâeffacer dans la nuit, La promesse dâun mardi qui attend patiemment, sans bruit. On remet tout Ă demain, les rĂȘves et les espoirs, Et dans ce doux sommeil, on se promet de croire, Que le lundi, malgrĂ© son air parfois rĂ©barbatif, Peut aussi ĂȘtre le dĂ©but dâune semaine plus crĂ©ative. [Spoken] "Ahhh, vivement le weekend hein!" [End] [End]
3 Comments
đŽđ_$đđđ*đđ[đđđđ] 1d ago
Thats great Broâ€ïžâ€ïžâđ„đ„°
JawShoeUh 1w ago
đ«đ· đ
MaurizioBucalo 14w ago
fantastic