Hiatus STRIKE !

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January 30, 2025 at 7:21 AMv4

Hey Hiatus, ça va bro ?
C'est Haddeubal au micro.

J’vois un sanglier dans l’brouillard qui gratte des rimes sales,
Sniffe des spores, punchline carnassière, il brise des cimes basses.
Il s’est forgé sous les cendres, la rage en guise d’encrier,
Chaque mesure est un carnage, chaque phase une hache aiguisée.

Ses textes s’enroulent sur les troncs comme du lierre sur une pierre,
Y’a du feu dans sa trachée, du bitume sur son artère.
J’l’ai vu rapper sous la lune, l’œil éclaté par l’orage,
Laisse des couplets sur l’écorce, gravés en putain d’hommage.

Hiatus Strike ! Ça rappe en sale, y’a pas d’pardon,
J’suis l’ombre qui danse dans le hall d’une putain d’prison.
Hiatus Strike ! Sa voix résonne sous les cèdres,
J’dégaine un 16, un coup de hache entre les vertèbres.

Y veut copier mon flow ? Vas-y frère, fais-le bien,
Mais sache que chaque rime que j’crache c’est une bête qui prend vie sous mes mains.
Y veut cracher du feu ? Téma, j’lui laisse la braise,
Mais méfie-toi des flammes, elles consument les âmes, elles brûlent la chaise.

Y découpe mes textes comme un boucher sur une carcasse,
Tape des punchs jusqu’à l’aube, sang sur la table, cerveau en crasse.
Téma l’monstre sous acide, il bave du rap dans la brume,
Chaque syllabe est un missile, chaque couplet un autel qu’il exhume.

J’suis qu’un reflet dans la nuit, une ride sur la mare,
Chaque syllabe est un cri qui déchire le brouillard.
On s’enjaille sur nos cendres, Hiatus Strike dans la transe,
S’il veut prendre mon feu, qu’il l’allume sans errance.

Y veut rapper comme moi, j’suis d’accord, mais qu’il l’assume,
J’lui laisse mes armes, j’lui laisse mon encre, j’lui laisse ma plume.

© Haddeubal. All rights reserved. Respect the craft. Support the real. Hey Hiatus, ça va bro ? C'est Haddeubal au micro. J’vois un sanglier dans l’brouillard qui gratte des rimes sales, Sniffe des spores, punchline carnassière, il brise des cimes basses. Il s’est forgé sous les cendres, la rage en guise d’encrier, Chaque mesure est un carnage, chaque phase une hache aiguisée. Ses textes s’enroulent sur les troncs comme du lierre sur une pierre, Y’a du feu dans sa trachée, du bitume sur son artère. J’l’ai vu rapper sous la lune, l’œil éclaté par l’orage, Laisse des couplets sur l’écorce, gravés en putain d’hommage. Hiatus Strike ! Ça rappe en sale, y’a pas d’pardon, J’suis l’ombre qui danse dans le hall d’une putain d’prison. Hiatus Strike ! Sa voix résonne sous les cèdres, J’dégaine un 16, un coup de hache entre les vertèbres. Y veut copier mon flow ? Vas-y frère, fais-le bien, Mais sache que chaque rime que j’crache c’est une bête qui prend vie sous mes mains. Y veut cracher du feu ? Téma, j’lui laisse la braise, Mais méfie-toi des flammes, elles consument les âmes, elles brûlent la chaise. Y découpe mes textes comme un boucher sur une carcasse, Tape des punchs jusqu’à l’aube, sang sur la table, cerveau en crasse. Téma l’monstre sous acide, il bave du rap dans la brume, Chaque syllabe est un missile, chaque couplet un autel qu’il exhume. Hiatus Strike ! Ça rappe en sale, y’a pas d’pardon, J’suis l’ombre qui danse dans le hall d’une putain d’prison. Hiatus Strike ! Sa voix résonne sous les cèdres, J’dégaine un 16, un coup de hache entre les vertèbres. J’suis qu’un reflet dans la nuit, une ride sur la mare, Chaque syllabe est un cri qui déchire le brouillard. On s’enjaille sur nos cendres, Hiatus Strike dans la transe, S’il veut prendre mon feu, qu’il l’allume sans errance. Y veut rapper comme moi, j’suis d’accord, mais qu’il l’assume, J’lui laisse mes armes, j’lui laisse mon encre, j’lui laisse ma plume.