Les Ombres de la Cité

** Les Ombres de la Cité ** Lyrics & arrangements: © Pascal Trops (Netor29) Les frères, ... Les soeurs, ... On a tous les mêmes peurs!... les mêmes pleurs!... Dans les rues où le béton règne, Où les rêves se brisent comme des chaînes, Les immeubles gris, les regards vides, La pauvreté s'étend comme une marée noire. Les gosses jouent dans les terrains vagues, Leurs rires résonnent, mais leurs cœurs sont vides, Les mères pleurent, les pères sont absents, La vie est dure, le futur est incertain. Les ombres de la cité, Où l'espoir est balayé, Les ombres de la cité, Où chaque jour est une lutte acharnée. Les dealers traînent à chaque coin de rue, Les sirènes hurlent, les gyrophares dansent, Les écoles fermées, les centres sociaux vides, La misère s'installe, les âmes sont meurtries. Les jeunes rêvent de s'enfuir, de trouver mieux, Mais les portes sont fermées, les chemins sont flous, Les nuits sont longues, les jours sont courts, La survie est un combat, chaque heure compte. Les ombres de la cité, Où l'espoir est balayé, Les ombres de la cité, Où chaque jour est une lutte acharnée. Mais dans ces ténèbres, une lueur persiste, Les cœurs battent encore, la résistance existe, Les mains tendues, les voix qui s'élèvent, Pour un avenir meilleur, pour des rêves qui se lèvent. Les ombres de la cité, Où l'espoir est balayé, Les ombres de la cité, Où chaque jour est une lutte acharnée. Les ombres de la cité, Mais la lumière viendra, Les ombres de la cité, Un jour, nous nous relèverons... Nous nous relèverons...