L’Âme… n’est pas copiable. Tu peux voler mes mots… mais pas mes douleurs. Tu peux copier ma voix… mais pas mes heures. HOOK: Ce tissu est cousu de ma chair. Moi j’crée avec les tripes. Toi, tu pilles par misère.

Tu crois que c’est juste du style ? Chaque vers, c’est une cicatrice. Chaque rime, un cri. Pas une notice. J’ai saigné mes nuits dans ces lignes… Et toi, tu les mets en vitrine. HOOK: L’encre vraie coule de l’âme… pas d’un clic infâme.

Copie sans cœur, copie sans feu… T’as volé les mots, pas les vœux. T’as pris l’écorce… pas la sève. T’as pris la pluie… pas la grêle. HOOK: Voler l’art, c’est s’enterrer soi-même. Le vide seul reproduit sans gêne.

Tu postes mes pensées… Comme si elles t’appartenaient. Mais j’réponds pas avec des avocats — J’réponds avec une voix que t’auras jamais. HOOK: L’idée naît dans le silence du vrai… pas dans un copier-coller.

Même avec tous mes mots dans tes mains… Tu n’auras jamais ce qui fait le chemin. L’âme n’est pas copiable. Le mépris colle à tes pas… comme une fable. Moi j’avance, incandescent. Toi, tu portes mon ombre… en contrebande. HOOK FINAL: Une flamme volée ne brûle jamais longtemps. C’est la braise de l’auteur… qui fait durer le temps.

L’Âme N’est Pas Copiable