
À force de réfléchir Quand j’écris, parfois je m’excuse, Même après un bon sommeil, toujours la fuse… Oh oh oh, quelle poisse, je m’excuse encore, Mes fautes d’orthographe, je les découvre au détour. Ce n’est pas ma faute, oh non, oh non, C’est mon cerveau, surchauffé de réflexions ! À force de cogiter, il perd le fil, Mais toi, tu restes si docile. Merci, oh oh oh, pour ta patience infinie, Pour les mots de trop, ou ceux oubliés aussi. Avec toi, écrire devient moins un poids, Alors, merci mille fois !