
Flow Kalash Flowka - Mirthomas City Stories arrangement (Copyright © Haddeubal / Flowka, 2025) [Jean-Claude] – T’entends ce bruit ? C’est pas un orage, c’est le chargeur qui se vide… [Titouan] – Flow Kalash, on vise, on tire. Pas d’échappatoire. [Jean-Claude] J’suis en mode Kalash, j’vide des chargeurs de phases, Chaque rime fait du sale, chaque couplet des ravages. J'les vois danser sous mes rafales, esquiver mais trop tard, Chaque syllabe est une balle, ma zone de tir est fatal. Mon flow est une rafale, pas d’espace entre les tirs, J’les arrose en automatique, pas d’sécurité sur mes dires. Chaque syllabe une munition, chaque mesure une embuscade, Le game veut du feu ? J’lui laisse des cendres en héritage. J’suis précis comme un viseur thermique dans la brume, Mes rimes frappent comme un drone, ils s’effondrent sous l’enclume. J’ai les plans, la tactique, j’suis un général, Titouan en éclaireur, on encercle, c’est radical. [Titouan] J’suis né dans le béton, mon encre sent la poudre, Chaque couplet est un guet-apens, chaque phase une secousse. J’suis un sniper dans la brume, chaque mesure est une cible, Leurs métaphores sont creuses, mes punchs sont létaux, instant kill. J’suis dans leur radar mais jamais à portée de tir, J’suis insaisissable comme un spectre sous une pluie de missiles. J’frappe dans le mille, chaque phase est calibrée, J’viens pirater leurs codes, j’les laisse en train d’bugger. [Jean-Claude] J’roule en Blackout, vision thermique, j’vois leur peur, Ils tentent d’se planquer mais j’suis partout, j’suis la terreur. Chaque kick c’est un headshot, pas d’place pour la défense, J'suis précis, j’met des trous dans leur carapace d’arrogance. Je suis le bruit du silence avant la tempête, Ma plume est une ogive, chaque phrase est un barillet. J'arme les rimes, j'recharge, et j’lâche des rafales métriques, Je mitraille l'industrie, j’suis l’ombre dans leurs statistiques. [Titouan] Chargeur plein, j’suis en mode carnage, Chaque rime est une douille, j’peux pas me permettre d’être sage. J’suis en combat permanent, j’suis l'ombre qui se glisse, Ma prose c’est du marbre, mes rimes du feu, j’crame leur artifice. Le game veut du lourd, j’suis la quintessence du carnage, J’décime les rangs, j’transforme chaque clash en funérailles. Mon stylo, un canon scié, mes lyrics, des ogives, Flow Kalash, mode full-auto, j'laisse juste des cendres vives. [Jean-Claude] – Ils voulaient du feu ? [Titouan] – Maintenant c’est l’Apocalypse. [Jean-Claude] – Flow Kalash, chargeur vide… [Titouan] – …Mais toujours une balle en réserve. Fin du carnage.
