
Un Souffle Tissé d’Espoir (Remix)
Sous l’azur changeant, la vie s’élance, Un ruisseau d’argent dans une folle danse. Ses vagues de rêves, ses flots de tourments, Portent nos âmes au gré des vents. Feuille d’automne ou rose d’été, Chaque heure s’effeuille, puis s’est envolée. Dans l’éclat du jour, dans l’ombre du soir, Elle tisse sa toile, brodée d’espoir. Ô vie, ô flamme, ô lumière qui passe, Tu cours vers l’ombre où tout s’efface. Mais dans ton souffle, un chant s’élève, Un hymne ardent, un éclat de rêve. Les amours s’enlacent, puis glissent des mains, Comme sable fin au creux du chemin. Les rires s’élèvent, les pleurs s’évanouissent, Et la mort murmure au bout de la piste. Pourtant, dans l’instant, l’éternel s’allume, Un astre brûlant dans la nuit qui s’embrume. Chaque pas, chaque cri, chaque larme versée, Est un vers d’amour dans l’ode tracée. Ô vie, ô flamme, ô lumière qui passe, Tu cours vers l’ombre où tout s’efface. Mais dans ton souffle, un chant s’élève, Un hymne ardent, un éclat de rêve. Si le terme attend, voilé de mystère, Sous l’aile du temps, tout semble éphémère. Mais l’âme, en sa course, peint l’infini, Dans l’éclat d’un rire, dans l’élan d’un cri. Alors, chante, cœur, sous l’étoile fugace, Danse, ô vivant, dans l’instant qui t’enlace. Car la mort n’est qu’un seuil, un rideau qui s’entr’ouvre, Pour que l’âme s’envole où l’amour se découvre. Ô vie, ô flamme, ô lumière qui passe, Tu cours vers l’ombre où tout s’efface. Mais dans ton souffle, un chant s’élève, Un hymne ardent, un éclat de rêve. Et si la nuit vient clore le chemin, La vie, en son éclat, reste un feu divin. Un poème d’étoiles, un chant sans fin, Qui brille, éternel, dans l’âme du destin.
